Bienvenue à Régis Lucas et Maxence Douet

Parce que Ar-Val s’emploie à apporter à ses clients le meilleur service et la meilleure écoute, nous avons le plaisir de vous présenter Maxence Douet et Régis Lucas. Ils ont rejoint AR-VAL à la fin de l’année 2020, respectivement en tant que responsable automatisme et informatique industrielle et chargé d’affaires client (SAV). Maxence et Régis appartiennent à une nouvelle génération de collaborateurs qui, tout en se nourrissant de l’expérience et des valeurs sur lesquelles AR-VAL a bâti sa réputation, aspirent à faire souffler un vent nouveau et porteur pour l’avenir de l’entreprise. A commencer par cette année 2021, pour laquelle nous vous présentons nos meilleurs vœux.

Régis Lucas, responsable automatisme et informatique industrielle

Régis Lucas a intégré Ar-Val le 16 novembre en tant que responsable automatisme et informatique industrielle. Un poste multi-facettes qui concerne tant les projets d’automatisation des process de tri que leur maintenance, et l’animation des équipes autour de ces sujets.

Qu’est-ce qui vous a amené à rejoindre Ar-Val ?
Régis Lucas : « J’ai répondu à une offre pour un poste de chef de projet mais au vu de mon profil, le recruteur m’a proposé le poste de responsable automatisme et informatique industrielle. Ce poste de responsable de service comprend une dimension management et pilotage d’équipe, nouvelle pour moi, mais que j’accepte comme un nouveau challenge et une nouvelle opportunité d’exprimer mes compétences professionnelles. »

Quel est votre parcours ?
R.L. : « Je suis titulaire d’un DESS (équivalent Master 2) en automatisme et informatique et j’ai travaillé pendant 16 ans dans un bureau d’ingénierie près de Saint-Nazaire, où j’étais responsable d’affaires pour des projets d’automatisme et d’instrumentation. J’ai ainsi pu travailler pour de grands donneurs d’ordres comme Total, Airbus et autres industriels. J’ai ensuite occupé un poste d’ingénieur automatisme chez Chantiers de l’Atlantique, puis plus récemment ingénieur travaux neufs chez Cargill Redon. »

Quelles sont vos missions chez Ar-Val ?
R.L. : « Dans l’immédiat, il s’agit pour moi de restructurer le service tout en m’investissant dans les projets de centres de tri et traitement en cours de construction. Je pense en particulier aux centres de tri de collecte sélective de Nanterre et Noidans-le-Ferroux (70), qui vont entrer dans leur phase de test pour être mis en service avant le printemps 2021. Je m’intéresse aussi de près aux centres de tri déjà en exploitation pour leur porter assistance en fonction des problématiques qui peuvent se présenter. J’ai enfin la charge des levées de réserves pour les centres de tri en fin de chantier. »

Comment présenteriez-vous votre métier à un enfant ?
R.L. : « J’expliquerais que les centres de tri des déchets valorisables comportent beaucoup de machines et convoyeurs qui permettent de séparer en différents flux les matériaux recyclables en provenance de la collecte sélective “poubelle jaune”. Mon travail consiste à imaginer comment automatiser une telle usine pour que ces machines soient plus performantes en vitesse comme en qualité de tri. Mais, Ar-Val ne fait pas que des centres de tri de collecte sélective. La société réalise aussi des installations de compostage, méthanisation, des centres de tri de déchets industriels banals ou même des centres de préparation de combustibles solides de récupération (CSR). »

Quel est votre rapport d’étonnement concernant Ar-Val ?
R.L. : « Après une année 2020 mouvementée pour tous, Ar-Val se trouve à un tournant de son histoire. C’est, pour moi, assez exaltant d’intégrer une nouvelle équipe pour participer à la rédaction d’une nouvelle page de l’histoire d‘Ar-Val, avec toute la légitimité que nous confèrent 20 ans d’expérience dans la conception et la réalisation de centres de tri. »

Qu’est-ce qui va caractériser cette nouvelle ère dans l’histoire d’Ar-Val ?
R.L. : « Je pense que nous pouvons justement nous appuyer sur l’expérience des équipes et la capacité d’innovation d’Ar-Val pour développer des centres de tri toujours plus performants et répondant toujours mieux aux évolutions des consignes de tri. Nous allons aussi marquer ce renouveau en apportant un nouveau nom à ce service, au cœur du monde numérique et de l’innovation ! »

Maxence Douet, chargé d’affaires au service client (SAV)

Maxence Douet a été recruté en octobre 2020 en tant que chargé d’affaires au service client, après que AR-VAL ait remarqué son profil sur une plateforme dédiée au recrutement. Séduit par l’idée d’intégrer une entreprise structurée, il a répondu favorablement à la proposition de s’inscrire chez AR-VAL dans un projet à long terme.

Quel a été votre parcours avant de rejoindre AR-VAL ?

Maxence Douet : « J’ai intégré l’ENSAM d’Angers après trois ans de Classe Préparatoire aux Grandes Écoles (filière physique et technologie). Ma 3e année à l’ENSAM en Management de l’Innovation m’a permis de travailler en contrat de professionnalisation chez RBL-REI à Saint-Sylvain-d’Anjou, une entreprise spécialisée dans la conception et la réalisation d’installations de manutention continue de produits vrac. »

Qu’est-ce qui vous a motivé à intégrer AR-VAL ?

M.D. : « AR-VAL se trouve à un tournant de son histoire, marqué par un renouvellement de la gouvernance comme des équipes, en particulier au service client que je viens d’intégrer. Cela m’intéresse particulièrement de participer à la construction d’un nouveau projet, par la mise en place de nouvelles procédures. »

Qu’est-ce qui vous a marqué lors de votre arrivée chez AR-VAL ?

M.D. : « J’ai eu le sentiment d’intégrer des équipes très expérimentées et fortement déterminées à mettre en place des méthodes de travail toujours plus collaboratives. »

Quelles sont vos missions chez AR-VAL ?

M.D. : « Je réponds pour l’instant beaucoup à des demandes clients pour des devis concernant la fourniture de pièces de rechange pour leurs matériels. Beaucoup d’échanges donc sur des demandes techniques, que je relaie ensuite auprès de fournisseurs. Je commence aussi à intervenir sur des modifications à réaliser sur des machines existantes, tâches pour lesquelles je dois encore progresser en compétences notamment en matière de modélisation. La modification de process ou ajout de composants dans des process existants sera, à terme, la majeure partie de mon activité. »

Comment expliqueriez-vous votre métier à un enfant ?

M.D. : « Je travaille dans le secteur de la gestion des déchets, où je participe à dépanner nos clients en relation avec l’atelier interne à l’entreprise et les équipes qui vont intervenir sur site : planifier les interventions, prévoir le matériel… Il faut toujours trouver une solution ! »

Qu’est-ce qui va caractériser AR-VAL à court terme dans l’évolution de l’entreprise ?

M.D. : « Les prochains mois vont être marqués par un gros travail de restructuration des procédures et des méthodes, la réception de nouveaux projets d’envergure pour la création de nouveaux centres de tri et donc la mobilisation des équipes au niveau du bureau d’études pour y répondre favorablement. Et toujours se montrer présents auprès de nos clients, pour apporter des solutions à leurs problématiques. »