Ar-Val rejoint le groupe Sources

Communiqué de presse acquisition AR-VAL

Nous sommes heureux de vous informer que le 5 octobre 2023, le Tribunal de commerce de REIMS a validé la cession de la société AR-VAL au groupe SOURCES.
Cette acquisition marque une étape cruciale dans l’engagement continu du groupe Sources en faveur de l’amélioration de la gestion des ressources et de la préservation de l’environnement.
Depuis plus de deux décennies, AR-VAL a bâti sa réputation sur l’excellence de ses services et sa contribution significative à la gestion durable des déchets. Cette expertise complète idéalement celle de Sources dans les domaines du traitement de l’eau et des stations d’épuration. Cette acquisition renforce la position du groupe en tant qu’acteur majeur dans le secteur de l’environnement.
Notre vision commune est de créer un avenir plus propre, plus sain et plus durable pour les générations futures. En combinant les compétences d’AR-VAL et du groupe Sources, nous sommes déterminés à développer des solutions encore plus innovantes pour la gestion intégrée de l’eau et des déchets. Cette fusion de talents nous permettra de relever avec créativité les défis environnementaux.
Nous tenons à rassurer nos clients et partenaires : AR-VAL continuera à opérer de manière indépendante dans ses domaines d’expertise historiques, tout en développant davantage le traitement et la valorisation des biodéchets grâce aux synergies et aux ressources accrues du Groupe Sources.
Ensemble, nous sommes plus forts. Cette acquisition est une étape importante vers la réalisation de notre mission commune visant à protéger l’environnement, promouvoir une gestion responsable des ressources et contribuer au bien-être de notre planète.
En effet, nous croyons fermement en notre capacité à valoriser l’avenir.

19ème forum du Cercle National du Recyclage – ROUEN

Le Cercle National du Recyclage organisait ces 16 et 17 septembre 2021, en partenariat avec le SMEDAR son 19ème forum à ROUEN. Thème du Forum : « nouvelles règlementations : Quels impacts pour le Service public de gestion des déchets ? ». Des échanges et débats riches autour des nouvelles règlementations (Feuille de route économie circulaire, loi anti-gaspillage pour une économie circulaire et la loi climat et résilience) qui auront un impact sur le service public de gestion des déchets.

Ce forum a permis de faire le point sur les problématiques actuelles autour de trois temps forts suivant :

  • Le premier consacré aux coûts du service public de gestion des déchets et ses évolutions ;
  • Le deuxième dédié à l’évolution des textes réglementaires ;
  • Le troisième avec une table ronde sur l’organisation de futures nouvelles filières REP issues de ces règlementations.

Un des temps forts de ce forum était la visite du centre de tri du SMEDAR. Centre de tri d’une capacité de  35 000 t/an, il est adapté aux nouvelles consignes de tri des emballages plastiques. Ce centre de tri a été conçu, installé et mis en service par Ar-Val .

SALON POLLUTEC : RETROUVEZ-NOUS SUR NOTRE STAND HALL 2 – ALLÉE g – stand 86

VENEZ NOUS RENCONTRER SUR NOTRE STAND HALL 2 – ALLÉE G – stand 86

AU SALON POLLUTEC À LYON EUREXPO

du 12 au 15 octobre 2021

Les sociétés Ar-ValSogefa ainsi que leur partenaire BTA seront présentes au salon international des équipements, des technologies et des services de l’environnement Pollutec, du 12 au 15 octobre 2021.

Nos Experts seront ravis de vous accueillir pour échanger sur vos projets de construction ou modernisation de vos unités de tri et traitement des déchets.

Nous vous présenterons à cette occasion nos dernières innovations dont la Val’Box, process de tri mobile et modulaire.

 Ar-Val, une entreprise, une histoire, une équipe à votre service !

Le procédé BTA ® a été développé afin d‘obtenir, à partir d‘ordures et en amont de la phase de digestion, une boue organique épurée d‘impuretés telles que les plastiques, les cailloux, le verre, le sable etc.

Syctom Nanterre: Livraison des premières tonnes de collecte sélective

La livraison des premières tonnes de collecte sélective en extension des consignes de tri a commencé cette semaine. Les équipes d’Ar-Val et de Paprec ont ainsi lancé le démarrage des essais, pour une montée en charge progressive jusqu’à la capacité nominale de 17 tonnes/h.

Cette étape est capitale et se fait en partenariat avec l’équipe d’exploitation de Paprec pour une meilleure prise en main du pilotage du process.

C’est un process ultramoderne, d’une capacité de tri de 55 000 tonnes par an et doté de toutes les dernières innovations d’Ar-Val. Ce process équipé d’un robot de tri est également muni de derniers procédés de dépoussiérage et d’un système de sécurité incendie haute performance.

#Paprec # Syctom Paris

Process Nanterre 3 Robot de tri Process Nanterre 2 Process Nanterre 1

CENTRE DE TRI DU SYCTOM DE PARIS À NANTERRE BIENTÔT OPERATIONNEL !

C’est un chantier pharaonique et d’une très grande technicité qui s’achève dans quelques semaines. Ce centre de tri conçu et réalisé par Ar-Val, réceptionnera la collecte sélective d’une trentaine de communes, avec une capacité de tri de 55 000 tonnes par an en extension des consignes de tri à tous les emballages en plastique. Le centre de tri connaît actuellement ses derniers réglages, avant une mise en service qui interviendra dès cet été.

Malgré la crise sanitaire de la COVID-19 et le premier confinement du printemps 2020, le centre de tri de Nanterre sera bientôt opérationnel ! Un grand coup de chapeau aux équipes d’AR-VAL qui, avec les autres membres du groupement constitué de  PAPREC/COVEDINDDIGO, et LA SUPERSTRUCTURE, se sont mobilisées pour réaliser ce chantier avec succès. Le centre de tri connaît actuellement ses derniers réglages, avant une mise en service.

Un centre de tri conçu pour l’extension des consignes de tri à tous les emballages en plastique.

L’extension des consignes de tri à la totalité des emballages en plastique d’ici à 2022 est prévue par la loi de transition énergétique pour la croissance verte. Les travaux engagés dans le centre de tri du Syctom de Paris visaient à s’y conformer, tout en répondant à un besoin d’accroissement de ses capacités, d’amélioration des conditions d’exploitation, de maintenance et des conditions de travail des opérateurs de tri.

Extension des consignes plastiques, des solutions transitoires pour les centres de tri de petite taille: ECOTRI GLOMEL (22)

AR-VAL propose des solutions économiques pour favoriser l’engagement des centres de tri vers l’extension des consignes de tri

Avec la crise sanitaire, la modernisation des centres de tri vers l’extension des consignes de tri prend du retard. Pourtant, le programme tel que défini dans la loi de transition énergétique prévoit que la totalité de la population française soit couverte en 2022 par l’extension des consignes de tri. En d’autres termes, que l’ensemble des centres de tri soient modernisés pour accepter l’ensemble des emballages plastiques et contribuer par là à l’objectif de 100 % de plastiques recyclés.

Pour répondre à ces obligations, CITEO accompagne la réalisation de travaux provisoires, a minima pour certains centres de tri, permettant de se rapprocher des objectifs définis pour l’extension des consignes de tri.

Une vingtaine de centres de tri en extension réalisés par AR-VAL depuis 2012

Depuis 2012, AR-VAL accompagne les collectivités et entreprises qui souhaitent engager les travaux nécessaires pour s’inscrire dans l’extension des consignes de tri plastiques. Le tout premier centre de tri en extension de plus de 30 000 t/an a ainsi été conçu et construit par Ar-Val en 2012. Depuis, AR-VAL a réalisé une vingtaine de centres de tri, toutes tailles confondues, répondant aux exigences de l’extension des consignes de tri.

En 2020, le programme de modernisation des centres de tri a été ralenti par un certain nombre de facteurs dont la crise sanitaire, et compte tenu des délais, certains d’entre eux ont été autorisés à envisager des solutions transitoires.

AR-VAL accompagne les centres de tri de petite taille par des solutions transitoires

Le geste de tri a considérablement évolué à l’échelle nationale et l’extension des consignes de tri prévoit qu’en 2022, 100 % des Français pourront mettre tous leurs emballages plastiques dans le “bac jaune”. Par conséquent les centres de tri doivent s’adapter afin de pouvoir extraire les produits triés dans le respect des standards exigés par la filière.
Compte tenu des délais et de la crise sanitaire qui a considérablement ralenti les projets, certains centres de tri ont été autorisés à s’engager vers des solutions transitoires, plus économiques et validées par CITEO.

ECOTRI – Les ateliers Fouesnantais – l’opérateur en charge de l’exploitation du centre de tri du SIRCOB à Glomel (22) a ainsi confié à Ar-Val, la conception et la réalisation des travaux du centre de tri afin de poursuivre son activité sociale d’entreprise d’insertion tout en répondant aux exigences du SIRCOB.

Haganis choisit AR-VAL pour la conception et la réalisation des travaux d’adaptation du centre de tri.

En charge du tri et du traitement des déchets ménagers sur le territoire de Metz Métropole, HAGANIS exploite également les 8 déchèteries de l’agglomération, ainsi qu’une plateforme de broyage de bois, de compostage et de stockage de verre (PAVD). À la suite d’une consultation portant sur la conception et la réalisation des travaux d’adaptation de son centre de tri à l’extension des consignes de tri à l’ensemble des emballages plastiques, Haganis a choisi de confier ce marché à un groupement constitué des sociétés AR-VAL (Mandataire du groupement), ER Architecte, MGR (Entreprise Génie civil), ATOSSA (Sécurité incendie) et Austral (Bureau d’études).

  • Du démantèlement de l’ancien process de tri à son remplacement par un process adapté à l’extension des consignes de tri plastiques.

Le projet consistera à démanteler dans un premier temps le process existant, avant de le remplacer par un nouveau process de tri adapté à l’extension des consignes de tri à l’ensemble des emballages plastiques. Il s’agira notamment de réaliser un tri “poussé” intégrant notamment la production d’un flux de films PE et du Flux Développement conformément aux standards CITEO. Le nouveau process permettra par ailleurs d’augmenter le taux de valorisation global et la valorisation des petits emballages métalliques en acier et en aluminium. Un accent particulier sera également mis sur l’amélioration de l’ergonomie et des conditions de travail des opérateurs, et la sécurité anti-incendie sera renforcée.

C’est enfin la capacité de tri totale du centre de tri qui sera augmentée pour atteindre jusqu’à 33 000 t/an, avec un process conçu pour fonctionner à un débit de 13 t/h.

  • Notre mission : maîtriser la gestion du projet pour une mise en service du centre de tri au 1er trimestre 2022.

Pour la conception et la réalisation des travaux d’adaptation du centre de tri, AR-VAL s’appuiera sur une gestion de projet maîtrisée par l’optimisation des différentes phases de préparation et de réalisation des travaux. Ce, afin que le site soit opérationnel au premier trimestre 2022, en répondant au cahier des charges défini par le maître d’ouvrage : le projet devra notamment être en adéquation avec les structures du bâtiment existant. La conception du centre de tri devra permettre un accès aisé et sécurisé aux équipements pour en faciliter la maintenance, tout en garantissant la possibilité de son évolutivité pour répondre aux potentielles évolutions des standards de reprise matières, des prescriptions de CITEO et à l’évolution des tonnages. La défense incendie sera renforcée, en conformité avec la réglementation en vigueur, et les conditions de tri en cabine améliorée dans le respect de la norme NF X35-702, privilégiant la lumière du jour dans les espaces intérieurs pour le confort visuel des opérateurs de tri, et favorisant la maitrise du niveau sonore en cabine notamment.

   

Des moyens importants seront ainsi engagés par AR-VAL et les membres du groupement dans le cadre de la réalisation de ce chantier d’envergure, afin de garantir la tenue de nos engagements tant au niveau de la qualité de la réalisation que du respect des délais.

Optimisation de la gestion des déchets, pour un monde plus propre et durable !

À l’heure où l’économie mondiale peine à se remettre d’une crise sanitaire sans précédent, il nous semble important de revenir sur le sens profond qui oriente notre action, au service du traitement et de la valorisation des déchets. Peut-être aura-t-il fallu passer par là pour qu’une prise de conscience s’opère sur les activités “indispensables à la vie de la nation” ?  Pour reconnaître le mérite des femmes et des hommes qui, au quotidien, œuvrent pour que notre environnement demeure vivable… Conjuguant performance technique, politique environnementale, coût global et sécurité des personnes, c’est chez Ar-Val avec une humilité teintée tout de même d’une certaine fierté que nous entendons poursuivre notre action.

Une expertise dans l’ingénierie du traitement et de la valorisation des déchets

Le traitement et la valorisation des déchets est notre cœur de métier. Un savoir-faire et une expertise issus de plus de 20 ans de retour d’expérience dans la conception et la réalisation de process efficients destinés au traitement de différents types de déchets : tri sur ordures ménagères brutes, compostage, méthanisation, DIB (Déchets industriels banals), traitement d’air, CSR (Combustible Solide de Récupération), DEEE (Déchets d’Équipements Électriques et Électroniques).

Ar-Val a également développé une solution innovante pour répondre de manière adaptée à la problématique de gestion des déchets dans les pays en voie de développement, Le concept Val’Box est modulaire et autonome, se déploie sur tous les terrains, y compris sur les théâtres de crise (zones de guerre) ou post-crise. C’est une unité mobile ou provisoire qui peut être utilisée pour la continuité d’exploitation en cas de travaux.

Une politique environnementale naturellement intégrée

Le traitement et la valorisation des déchets est en soi une mission environnementale. Au-delà de cela, nous inscrivons volontairement à notre action les grands enjeux de la transition écologique. C’est ainsi que nous imaginons des process de tri qui augmentent la performance du traitement des déchets en quantité, et favorisent la valorisation d’un spectre de plus en plus large de catégories de déchets.

Le tout, dans le souci permanent de la réduction des nuisances sonores ou olfactives susceptibles d’être occasionnées dans l’environnement immédiat de nos installations.

Un coût global maîtrisé en construction comme en exploitation

Au service des collectivités comme des acteurs privés, AR-VAL intègre aux projets qui lui sont confiés la nécessaire réduction des dépenses publiques. Agissant dès la conception des centres de tri (qu’il s’agisse de nouveaux projets ou en rénovation d’installations existantes), sur les deux composantes du coût global des installations : l’achat des équipements et leur assemblage pour la réalisation du projet d’une part ; leur coût d’exploitation d’autre part.

Le bien-être et la sécurité des personnes au cœur de nos préoccupations

Très largement et de plus en plus automatisés, les process de traitement et de valorisation des déchets nécessitent encore (et heureusement) une présence et une intervention humaines. La norme X35-702 (première norme volontaire sur l’ergonomie des cabines de tri) propose aux concepteurs de ces installations des recommandations ergonomiques visant à réduire les troubles musculo squelettiques (TMS). Chez AR-VAL, la prise en compte du bien-être et de la sécurité des personnes au travail est un pré-requis qui accompagne toute conception de nouveaux process de traitement des déchets. Elle concerne tant l’ergonomie des postes que la réduction des poussières et du volume sonore à l’intérieur des installations, voire l’apport le plus large de lumière naturelle au sein des centres de tri.

VAL’BOX : Le premier centre de tri modulaire installé au Cameroun

Comment valoriser les déchets par l’industrialisation du compostage et du recyclage dans les pays en voie de développement ?

En s’appuyant sur le cas d’une communauté urbaine du Cameroun la commune de Dschang, AR-VAL a imaginé VAL’BOX : un centre de tri clés en main, modulaire, destiné à être déployé sur tous les terrains. 

En janvier 2021, Yohann et Pierre-Yves, tous deux techniciens AR-VAL se sont rendus à Dschang, une commune de l’Ouest du Cameroun, afin d’y implanter le premier centre de tri de type VAL’BOX. Retour sur une expérience hors-normes…

  • Comment avez-vous rejoint le projet VAL’BOX ?

Yohann et Pierre-Yves : « Chez AR-VAL, nos missions nous conduisent à intervenir sur tous types de centres de tri des déchets, de leur installation à leur maintenance technique. Le projet VAL’BOX est un nouveau concept de centre de tri, auquel le pilote du projet Blaise METANGMO, nous a proposé de nous joindre, dans la perspective d’aller l’installer au Cameroun. Ce qui nous a immédiatement enthousiasmés ! »

  • Quelles ont été les différentes phases du projet en ce qui vous concerne ?

Yohann et Pierre-Yves : « Nous avons dans un premier temps réalisé un montage à blanc du centre de tri dans les ateliers d’AR-VAL à Saint-Avé (56), assistés du chargé d’affaires en charge de la gestion du projet. Nous avons donc coordonné les travaux sur le terrain avec une équipe de montage d’une dizaine de personnes pendant 15 jours. L’objectif de cette opération était tant de vérifier le bon fonctionnement du process, que de nous faire la main sur son assemblage.

Le process a ensuite été conditionné dans des conteneurs (9 conteneurs dont une cuve de 21 000 litres pour la collecte des eaux) pour son acheminement par bateau du port du Havre à celui de Douala, puis par transport routier sur le site de Siteu à Dschang.

Nous sommes arrivés sur place le 8 janvier pour l’assemblage et les réglages du process de tri, de la même façon qu’à Saint-Avé. Nous avons été, pour cela, accompagnés par une équipe de techniciens locale recrutés pour l’occasion par l’association locale Tockem. »

  • De quels types d’équipements est composé le centre de tri VAL’BOX ?

Yohann et Pierre-Yves : « C’est un process de tri qui est composé de 9 containers : les déchets sont alimentés dans une trémie, puis sont acheminés via un convoyeur dans un Trommel qui va procéder à la séparation granulométrique ; les déchets qui passent entre les mailles du Trommel sont majoritairement composés de la fraction organique. Cette fraction sera ensuite acheminée après criblage vers la plateforme de compostage. Les non-passants, composés des matières recyclables et non valorisables, sont triés manuellement sur une table de tri. 12 opérateurs trient les déchets par matériaux ; ces matériaux sont conditionnés en balles pour être acheminés vers les filières de recyclage. Rappelons qu’il s’agit du tri de l’ordure ménagère brute car il n’existe pas ici de collecte sélective comme en France. »

  • Qu’est-ce qui vous a marqué dans cette expérience camerounaise ?

Yohann et Pierre-Yves : « Cela reste un projet exceptionnel pour des techniciens comme nous. Nous avons été particulièrement surpris par la démarche de communication locale qui a accompagné la réalisation de ce centre de tri des déchets : de nombreuses personnalités se sont déplacées, nous avons été reçus à la mairie, une délégation de maires des communes alentours est venue visiter le centre de tri… Nous avons ressenti que la valorisation économique des déchets, conjuguée à l’assainissement de l’environnement est vraiment ici un sujet d’avenir ! »

À propos de VAL’BOX

Val’Box est un nouveau concept de centre de tri des déchets qui offre une solution immédiatement opérationnelle. C’est une unité de tri mobile ou provisoire, qui peut permettre la continuité d’exploitation si arrêt du centre de tri principal pour travaux. Val’Box est un process rustique, économique et évolutif, adapté aux pays en voie de développement, voire aux théâtres de crise.

Par l’industrialisation du tri des déchets, l’équipement Val’Box permettra de booster le développement de la production du compost ou autres formes de valorisations et le recyclage de nouveaux matériaux, tout en améliorant les conditions de travail.

Val’Box a bénéficié d’un financement de la direction Générale du Trésor dans le cadre du FASEP innovation verte.

Bienvenue à Régis Lucas et Maxence Douet

Parce que Ar-Val s’emploie à apporter à ses clients le meilleur service et la meilleure écoute, nous avons le plaisir de vous présenter Maxence Douet et Régis Lucas. Ils ont rejoint AR-VAL à la fin de l’année 2020, respectivement en tant que responsable automatisme et informatique industrielle et chargé d’affaires client (SAV). Maxence et Régis appartiennent à une nouvelle génération de collaborateurs qui, tout en se nourrissant de l’expérience et des valeurs sur lesquelles AR-VAL a bâti sa réputation, aspirent à faire souffler un vent nouveau et porteur pour l’avenir de l’entreprise. A commencer par cette année 2021, pour laquelle nous vous présentons nos meilleurs vœux.

Régis Lucas, responsable automatisme et informatique industrielle

Régis Lucas a intégré Ar-Val le 16 novembre en tant que responsable automatisme et informatique industrielle. Un poste multi-facettes qui concerne tant les projets d’automatisation des process de tri que leur maintenance, et l’animation des équipes autour de ces sujets.

Qu’est-ce qui vous a amené à rejoindre Ar-Val ?
Régis Lucas : « J’ai répondu à une offre pour un poste de chef de projet mais au vu de mon profil, le recruteur m’a proposé le poste de responsable automatisme et informatique industrielle. Ce poste de responsable de service comprend une dimension management et pilotage d’équipe, nouvelle pour moi, mais que j’accepte comme un nouveau challenge et une nouvelle opportunité d’exprimer mes compétences professionnelles. »

Quel est votre parcours ?
R.L. : « Je suis titulaire d’un DESS (équivalent Master 2) en automatisme et informatique et j’ai travaillé pendant 16 ans dans un bureau d’ingénierie près de Saint-Nazaire, où j’étais responsable d’affaires pour des projets d’automatisme et d’instrumentation. J’ai ainsi pu travailler pour de grands donneurs d’ordres comme Total, Airbus et autres industriels. J’ai ensuite occupé un poste d’ingénieur automatisme chez Chantiers de l’Atlantique, puis plus récemment ingénieur travaux neufs chez Cargill Redon. »

Quelles sont vos missions chez Ar-Val ?
R.L. : « Dans l’immédiat, il s’agit pour moi de restructurer le service tout en m’investissant dans les projets de centres de tri et traitement en cours de construction. Je pense en particulier aux centres de tri de collecte sélective de Nanterre et Noidans-le-Ferroux (70), qui vont entrer dans leur phase de test pour être mis en service avant le printemps 2021. Je m’intéresse aussi de près aux centres de tri déjà en exploitation pour leur porter assistance en fonction des problématiques qui peuvent se présenter. J’ai enfin la charge des levées de réserves pour les centres de tri en fin de chantier. »

Comment présenteriez-vous votre métier à un enfant ?
R.L. : « J’expliquerais que les centres de tri des déchets valorisables comportent beaucoup de machines et convoyeurs qui permettent de séparer en différents flux les matériaux recyclables en provenance de la collecte sélective “poubelle jaune”. Mon travail consiste à imaginer comment automatiser une telle usine pour que ces machines soient plus performantes en vitesse comme en qualité de tri. Mais, Ar-Val ne fait pas que des centres de tri de collecte sélective. La société réalise aussi des installations de compostage, méthanisation, des centres de tri de déchets industriels banals ou même des centres de préparation de combustibles solides de récupération (CSR). »

Quel est votre rapport d’étonnement concernant Ar-Val ?
R.L. : « Après une année 2020 mouvementée pour tous, Ar-Val se trouve à un tournant de son histoire. C’est, pour moi, assez exaltant d’intégrer une nouvelle équipe pour participer à la rédaction d’une nouvelle page de l’histoire d‘Ar-Val, avec toute la légitimité que nous confèrent 20 ans d’expérience dans la conception et la réalisation de centres de tri. »

Qu’est-ce qui va caractériser cette nouvelle ère dans l’histoire d’Ar-Val ?
R.L. : « Je pense que nous pouvons justement nous appuyer sur l’expérience des équipes et la capacité d’innovation d’Ar-Val pour développer des centres de tri toujours plus performants et répondant toujours mieux aux évolutions des consignes de tri. Nous allons aussi marquer ce renouveau en apportant un nouveau nom à ce service, au cœur du monde numérique et de l’innovation ! »

Maxence Douet, chargé d’affaires au service client (SAV)

Maxence Douet a été recruté en octobre 2020 en tant que chargé d’affaires au service client, après que AR-VAL ait remarqué son profil sur une plateforme dédiée au recrutement. Séduit par l’idée d’intégrer une entreprise structurée, il a répondu favorablement à la proposition de s’inscrire chez AR-VAL dans un projet à long terme.

Quel a été votre parcours avant de rejoindre AR-VAL ?

Maxence Douet : « J’ai intégré l’ENSAM d’Angers après trois ans de Classe Préparatoire aux Grandes Écoles (filière physique et technologie). Ma 3e année à l’ENSAM en Management de l’Innovation m’a permis de travailler en contrat de professionnalisation chez RBL-REI à Saint-Sylvain-d’Anjou, une entreprise spécialisée dans la conception et la réalisation d’installations de manutention continue de produits vrac. »

Qu’est-ce qui vous a motivé à intégrer AR-VAL ?

M.D. : « AR-VAL se trouve à un tournant de son histoire, marqué par un renouvellement de la gouvernance comme des équipes, en particulier au service client que je viens d’intégrer. Cela m’intéresse particulièrement de participer à la construction d’un nouveau projet, par la mise en place de nouvelles procédures. »

Qu’est-ce qui vous a marqué lors de votre arrivée chez AR-VAL ?

M.D. : « J’ai eu le sentiment d’intégrer des équipes très expérimentées et fortement déterminées à mettre en place des méthodes de travail toujours plus collaboratives. »

Quelles sont vos missions chez AR-VAL ?

M.D. : « Je réponds pour l’instant beaucoup à des demandes clients pour des devis concernant la fourniture de pièces de rechange pour leurs matériels. Beaucoup d’échanges donc sur des demandes techniques, que je relaie ensuite auprès de fournisseurs. Je commence aussi à intervenir sur des modifications à réaliser sur des machines existantes, tâches pour lesquelles je dois encore progresser en compétences notamment en matière de modélisation. La modification de process ou ajout de composants dans des process existants sera, à terme, la majeure partie de mon activité. »

Comment expliqueriez-vous votre métier à un enfant ?

M.D. : « Je travaille dans le secteur de la gestion des déchets, où je participe à dépanner nos clients en relation avec l’atelier interne à l’entreprise et les équipes qui vont intervenir sur site : planifier les interventions, prévoir le matériel… Il faut toujours trouver une solution ! »

Qu’est-ce qui va caractériser AR-VAL à court terme dans l’évolution de l’entreprise ?

M.D. : « Les prochains mois vont être marqués par un gros travail de restructuration des procédures et des méthodes, la réception de nouveaux projets d’envergure pour la création de nouveaux centres de tri et donc la mobilisation des équipes au niveau du bureau d’études pour y répondre favorablement. Et toujours se montrer présents auprès de nos clients, pour apporter des solutions à leurs problématiques. »